Home Assistant
Home Assistant — Une maison qui écoute (et comprend… parfois)
Pourquoi Home Assistant?
Google Home fonctionne bien. Mais il y a un plafond. Un plafond créatif.
J’ai une curiosité naturelle — presque artistique — de comprendre ce qu’on peut vraiment faire avec les objets technologiques dans une maison. Pas juste les faire parler ou clignoter, mais les manipuler, les détourner, les faire dialoguer. Avec les plateformes commerciales, on reste dans les balises du manufacturier. On reste dans les limites prévues. Et moi, je suis pas très bon pour rester dans les cadres.
Avec Home Assistant, tous les objets deviennent des outils d’expression. Un médium.
Une ampoule n’est plus une ampoule. C’est un acteur dans une mise en scène.
Un capteur de mouvement devient un chef d’orchestre.
J’ai maintenant une maison qui peut s’adapter à un film en fin de journée, à un souper entre amis, à une fête spontanée, ou même à une chanson préférée criée par un enfant à 7h12 du matin — et soudain, le salon devient un club.
Ce n’est pas juste une domotique plus avancée.
C’est une maison qui devient un terrain de jeu pour les idées, pour les émotions, pour l’ambiance que je veux créer ici et maintenant.
Ce que ça permet
Home Assistant me permet de :
- Centraliser tous mes appareils (ampoules, capteurs, haut-parleurs, caméras, interrupteurs, thermostats, etc.) dans un seul tableau de bord.
- Créer des automatisations sur mesure, sans dépendre d’un cloud étranger.
- Avoir un assistant vocal personnalisé, avec une vraie personnalité (bonjour Charlie).
- Rendre la maison moins bruyante, plus intuitive, plus douce à vivre.
Exemples concrets
- La lumière du salon s’ajuste à la météo ET à l’heure du jour.
- Quand la maison passe en mode “nuit”, la chambre se tamise et une histoire audio démarre pour les enfants.
- Si je bouge dans la cuisine tôt le matin, la cafetière s’active et la radio jazz démarre doucement.
- Et surtout : quand je ne veux RIEN… la maison ne fait rien. Et ça, c’est aussi une victoire.
Pourquoi pas autre chose?
Les solutions du commerce sont séduisantes, mais elles demandent une chose que je ne suis pas prêt à céder : ma liberté créative.
Home Assistant est local.
C’est moi qui choisis ce que je veux exposer à Internet.
C’est moi qui décide comment je veux que ça fonctionne.
Et surtout, c’est moi qui peux créer des choses qui n’existent nulle part ailleurs.
La courbe d’apprentissage?
Disons-le honnêtement : ce n’est pas pour tout le monde, tout de suite.
Mais si t’aimes bidouiller, que tu veux comprendre comment ta maison peut devenir un médium d’expression, ou si tu veux juste une maison qui ne te parle pas comme un call center… alors Home Assistant, c’est peut-être ton prochain terrain de jeu.
Ressources utiles
À suivre : mes automatisations préférées, un assistant vocal maison, et pourquoi la lumière est une histoire d’émotions.
Home Assistant — Une maison qui écoute (et comprend… parfois)
Pourquoi Home Assistant?
Je n’ai jamais rêvé d’avoir une maison “intelligente”. J’ai plutôt rêvé d’un chez-moi réactif. Un espace qui comprend nos rythmes, nos humeurs, nos routines… sans avoir besoin de dire “Ok Google” à tout bout de champ. C’est là que Home Assistant entre en scène.
Home Assistant, c’est un système de domotique libre et auto-hébergé. Il tourne sur un Raspberry Pi, un mini-PC ou un serveur local, et il devient peu à peu le cerveau discret de la maison.
Pas une plateforme de gadgets.
Un langage. Un OS pour l’habitat.
Ce que ça permet
Home Assistant me permet de :
- Centraliser tous mes appareils (ampoules, capteurs, haut-parleurs, caméras, interrupteurs, thermostats, etc.) dans un seul tableau de bord.
- Créer des automatisations sur mesure, sans dépendre d’un cloud étranger.
- Avoir un assistant vocal personnalisé, avec une vraie personnalité (bonjour Charlie).
- Rendre la maison moins bruyante, plus intuitive, plus douce à vivre.
Exemples concrets
- La lumière du salon s’ajuste à la météo ET à l’heure du jour.
- Quand la maison passe en mode “nuit”, la chambre se tamise et une histoire audio démarre pour les enfants.
- Si je bouge dans la cuisine tôt le matin, la cafetière s’active et la radio jazz démarre doucement.
- Et surtout : quand je ne veux RIEN… la maison ne fait rien. Et ça, c’est aussi une victoire.
Pourquoi pas autre chose?
Les solutions du commerce (Google Home, Alexa, Apple HomeKit…) sont séduisantes, mais elles demandent une chose que je n’ai pas envie de céder : le contrôle.
Home Assistant est local.
C’est moi qui choisis ce que je veux exposer à Internet.
C’est moi qui décide comment je veux que ça fonctionne.
Et surtout, c’est moi qui peux bricoler quand j’ai une idée un peu farfelue.
La courbe d’apprentissage?
Disons-le honnêtement : ce n’est pas pour tout le monde, tout de suite.
Mais si t’aimes bidouiller, que tu veux comprendre comment ta maison peut devenir un médium d’expression, ou si tu veux juste une maison qui ne te parle pas comme un call center… alors Home Assistant, c’est peut-être ton prochain terrain de jeu.
Ressources utiles
À suivre : mes automatisations préférées, un assistant vocal maison, et pourquoi la lumière est une histoire d’émotions.
Pour tout personne ayant une créativité et un don pour la programmation, tien toi loin de cette application sinon gare au rabbit hole qui viendra. Elle est véridique, car elle est vécu. Maintenant cela fais plus d’un an que mon installation roule et heureusement vient un temps où il n’y a plus rien à faire de plus.
Ceci est ma note principale qui vous dirigera vers mes explorations qui sont aux grands détriments de ma famille parfois apprécié, parfois juger et pour le reste du temps… rigoler.
- Make sure automation run only one time per day
- Share from Spotify
- Persistent notification on the phone
- Mood Controller
- Trigger on Real Change (Ignore unknown - unavailable)
- Running Scripts - Sync vs Async